Sale Cauchemar et Rencontre insolite

Le vent fait vibrer les fenêtres et la pluie claque contre les tuile du toit, mais la chaleur d’un feu de bois est agréable et douce. Un élève Poudlard ne serait sans doute pas sortie par ce temps, mais il en fallait plus qu’un vent froid, une pluie glacée et des éclaires zébrant le ciel pour effrayer Cassiel. Chacun des battements de son cœur était ponctué d’un flash blanc. Le jeune homme devait être la seule âme vivante a être sous la pluie, se promenant ainsi. Si quelqu’un avait du sortir par ce temps, il aurait mis des habits imperméable, mais Cassiel se sentait bien sous la pluie… Elle était fraîche, rafraîchissante… après les évènement de la journée cela faisait du bien… au cœur et au corps. Malgré le fait que la journée fut longue et éprouvante pour le jeune Valandil, il ne se souvenait plus de la cause… Ils se souvenait juste qu’il avait arraché son cœur…au sens propre du terme… Son cœur gisait maintenant dans l’un des multiple couloirs du château, ou plutôt la poussière de son cœur mort gisait dans le château, s’éparpillant de plus en plus au fur et a mesure des courants d’aire et des pas des habitant de Poudlard.
* Et voilà… Je suis intouchable… Mon cœur est dispersé dans le château, et je peut vivre sans lui…*
Si Cassiel pouvait vivre sans son cœur, c’était parce qu’il était mort sentimentalement. Si seulement il pouvait se souvenir de la cause de la disparition de ses sentiments, il pourrait peut être comprendre ce qui lui arrivait. Pour le moment Cassy avançait vers la Foret interdite, où il était entraîné par une force invisible, comme si son corps se dirigé de lui même vers le cœur de la foret. Un cœur qui appeler celui qui venait de le perdre brutalement. Ce cœur, ancien, sage et pur, pourrait lui dire pourquoi son cœur a lui, qui était si jeune, mais si mature, si discret mais emplie d’ambitions, si grand mais ténébreux, était partie en poussière… Le jeune Vert et Argent avait un jour entendu la formule « Poussière tu redeviendra Poussière. » Jusque là il avait cru a un message plus profond et loin de la vérité. Il croyait que ça signifiait que n’importe qui dans la masse, y retournerait, même après avoir vécu beaucoup de choses. Mais non, cela n’était que la triste réalité. Un cœur brisé devient de la poussière, comme si il avait était brûler et réduit en cendre…
Un éclaire éclaira le parc d’une lumière électrique alors que Cassiel s’arrêtait de marchait. Des cendres… Un grand feu… La Chambres des Secrets en train de prendre feu. Pas un simple feu qu’on éteint d’un coup de baguette mais un feu qui s’était de lui même quand il n’as plus de matière pour le faire vivre… de la vie. Le feu de la Chambres était un feu magique, qu’ils avait malheureusement déclencher par un sortilège qui était censé allumer un feu qui serait conscient et qui régulerait sa chaleur, sa taille… Mais pas un feu qui tuerait pour vivre. Un feu a l’image de Cassiel. Quels malheurs avait provoqué ce feu ? Les souvenirs s’arrêtaient là. Cassiel repris sa marche, en essayant de se souvenir de ce qui c’était passé, mais rien ne revenait. Il était arrivé a l’orée de la foret sombre. Il regarda l’obscurité, rassurée par cette dernière, après l’avoir connu a l’intérieur de son âme; il ne craignait plus de se jeter dedans a corps perdu. Il pénétra dans la foret, plus il avancé et plus la foret devenait dense et le sentier étroit. En voulant passer entre deux buissons relativement serrés, il arracha un morceau de son pull… Au niveau de sa nuque, dévoilant son tatouage rouge sang qui y était dessiné. Un A par dessus une spirale. Son Tatouage !!! Il savait qu’il y’avait un lien entre la perte de son cœur et l’incendie qui avait tant fait de ravage. Un grondement sourd et puissant, qui fit tremblé la terre sous les pieds du jeune homme fit tout revenir a la surface. Il savait maintenant pourquoi son cœur avait fini en cendre, dispersé dans Poudlard. Les nouvelle du lendemain serait sinistre. Des élèves de Poudlard mort dans la Chambre des Secrets suite a un sortilège raté. Tout était claire maintenant… Nouvel éclaire et Rétrospection. En début de Soirée, les quatre Fondateurs des Arrachvies, et quelque uns de leur plus important membre, tel que Jake ou Jodie, avaient eu une réunion dans la Chambre, leur repaire secret, dont seulement Cassiel pouvait autorisé l’accès. La réunion avait durée un peu plus longtemps que prévu. Enfin il avait surtout finis la réunion a coups de Whisky pur feu et Bierraubeurre et dans les rires. La chaleur baissait au fur et a mesure du temps. Et Cassiel avait voulu faire un feu magique, pas un feu, d’une couleur spéciale, ou qu’on peut mettre dans une bouteille. L’Arrachvie avait voulu créer un feu qui régulerait la chaleur de la Chambre, et son éclairage. Mais rapidement le feu avait grandit et devenait incontrôlable. Rapidement, le feu avait brûlé tout ce qu’il pouvait. Papier, table, fauteuil, corps…Le feu s’en était d’abord pris a Eris. Elle avait essayer tout les sorts qu’elle connaissait. Mais rien a faire, le feu était lancé. Il lui fallait son quota d’âmes. En voyant le feu devenir autonome, tous avait fait preuve de Fidélité jusqu’au bout, et tous avait laissait leur place a Cassiel, qui fut le premier sortit de la chambre. Alors que le fils du Ministre montait a l’échelle, Jake avait été pris. Son crie resterait gravé au fond de son cœur. Il aidait Evie a monter quand le feu pris Michael. Cassiel vit la scène. Le feu après avoir pris Jake s’était projeter vers la poitrine de Mike. Il Stoppa net son geste. Et s’effondra en arrière. Son cœur consumé, le feu pris tout le reste. Le corps de Mike, pourtant si beau a l’origine était couvert de grosse cloque, qui explosèrent rapidement. D’un corps presque parfait il ne reste plus que des cendres. En voyant ça, Cassiel poussa un cri d’agonie, comme si c’était lui qui venait de périre. Il dut resserrer sa prise au poignet d’Evie pour pas la laisser chuter. Il tira Evie mais ses mains était moite et les parois glisser, surtout que l’échelle était en train de brûler. Le temps qu’il croisa le regard, calme, d’Evie, son cœur fit un bond dans sa cage thoracique.
Pendant ce temps le feu s’en était pris a Jodie. Elle serra les dents et fit tout pour ne pas laisser sa douleur paraître sur son joli visage. En voyant le feu approché, lentement, comme si la mort elle même disait a Cassiel ,qu’ils étaient tous condamnés. Il vit le feu brûler l’échelle, montant lentement vers la chaussure d’Evie qui brûla en se propageant a son pantalon. Le cris qu’Evie se forçait de retenir parvint quand même aux oreilles et au cœur du jeune homme. Ce cri, il aurait préféré le pousser lui même, criant sa propre douleur plutôt que d’entendre celle qu’il aimait crier d’agonie. Cassiel la regarda, les yeux humide, et une larme, la dernière, coulant le long de sa joue, et lui murmura : «Je suis désolé… » Le feu pris Evie. Et comme il avait eu ses cinq âmes, le feu s’éteignit. Mais au fond de sa poitrine resté une chaleur insoutenable. Quand il avait vu Evie, pour la première fois, son cœur avait brûlé de la même façon, quand il était devenu Amis avec les cinq défunt, son cœur avait brûlé de la même façon. Quand il avait eu leur première disputes avec la bande a Warren, et quand c’est amis avait été là, son cœur avait brûlé de la même façon. Chaque secondes vécut avec Eux, son cœur avait brûlé comme il brûlait actuellement, sauf que là, il souffrait. Il avait perdu tout ce qui était vital pour lui. Et là où il était maintenant, au cœur de la foret, il se disait qu’il devait rejoindre les autre. Il avait perdu l’envie de vivre. Il aurait voulu mourir de la même façon, mais il ne pouvait pas laisser d’autres âme partir. La veille il aurait bien tué Warren, Sanders, Shepered et Riggins. Mais en ce moment il aurait préférer les voire heureux et rire entre eux. Il s’avança encore plus dans la foret. Il commençait a entendre des voix devant lui. Il accéléra encore le pas, se griffant le visage, les bras et toute les partie possible. Il lui sembla voir des sorte de fantôme devant lui.
Saisi d’une idée il décida de les suivre, il accéléra encore le pas, courant presque. Il rejoint les fantôme. Mais il ne s’était pas du tout attendu a CA. Devant lui, un corps vivant. Un grand corps, pâle, squelettique.
Cassiel le regarda, et l’autre se tourna vers lui, il avait une baguette entre ses long doigts. Les yeux rouges de l’autre lui semblèrent familiers. Un rire lugubre sortit de la gorge de l’être ténébreux et l’autre murmura« La mort est une journée qui mérite d’être vécu » . Cassiel sourit et levant au ciel avant de répondre «Oui, je comprend, mais là on est en pleine nuit, donc si ça pouvait attendre demain »
Cassiel avait presque oublié de nouveau les événement de la soirée, maintenant il se sentait d’humeur a taquiner ce semblant d’Inferi, sans savoir qui il était… LORD VOLDEMORT. L’ancien Seigneur des Ténèbres souriait a son arrière arrière petit neveu. Cassiel fit un clin d’œil a Voldemort, et en se tournant dans un grand geste gracieux il dit « Alors comme ça t’es revenu d’entre les morts ? ». Il écarquilla grand les yeux, et se retourna rapidement, jamais il aurait cru que c’était possible… Son oncle lui avait dit… « Oui mais j’y retourne et avec toi mon petit. Avada Kadevra ! »
Le bruit du Tonnerre fit bondir Cassiel dans son lit. Il était en sueur, malgré le fait qu’il soit torse nu dans son lit. Il faisait chaud malgré l’orage qui tonnait dehors. Si Mike était réveillé il aurait paniqué en voyant le teint de son meilleur ami. Le Vert et Argent sortit de son lit et se précipita vers les toilettes mais ils étaient trop loin de lui. Il s’arrêta dans le couloir et commença a vomir. Ça faisait du bien… Cassiel tremblait, et avait la chair de poule. Ce cauchemar… était tellement réaliste. Il avait tellement craint qu’Evie ait périe dans l’incendie… Cassiel suait a grosse gouttes, perlant contre son front, glissant lentement le long de sa joue avant de faire la grande chute et allez arroser la moquette. Cassiel retourna dans le dortoir et pris sa baguette magique. Il se dirigea vers la salle d’eau, et fit disparaître la gerbe qu’il avait laisser là. Une fois dans la salle de bain, sombre, tiède et humide, il se regarda dans le miroir. Il était pâle… dangereusement pâle… Il ressemblait a celui qu’il avait croisé au cœur de la foret, dans son rêve… Un lointain Ancêtre, mondialement connu pour sa magie… Le Seigneur des Ténèbres, le Seigneur des Mangemort, l’Héritier de Salazar Serpentard, Le célèbre Lord Voldemort. L’oncle de son arrière arrière grand père, Morfin Gaunt.
En se regardant dans la glace le jeune homme avait l’impression d’être un mort dont on aurait déranger le sommeil éternel. A vrai dire, Cassiel ressemblait plus a un Inferi qu’a un être humain bien vivant. Il était blanc comme neige, ses yeux émettait ce qu’il n’avait plus l’habitude d’emmètres : La peur, l’angoisse… Son visage, si fermé mais souriant a l’accoutumé, était désormais neutre, comme si tout ses muscles faciaux c’était mis en grève. Si n’importe qui l’aurait vu, allongé, en train de dormir, il aurait pu croire au premier regard qu’il était bien ce a quoi il ressemblait et faisait penser… Un Mort. Le Tueur tué qu’on pourrait dire. D’un coup toute ses idées semblaient sottes, idiotes, dangereuse… Il voulait dominer le monde, rien de plus rien de moins. Il voulait voir Sorcières et Sorciers soumettre aux Moldus les même traitement qu’a leur elfes de maisons. Cassiel détestait les Moldus d’une haine infinie. Il ne savait lui même pas pourquoi ils les détestaient tant. Sans doute, parce qu’a cause d’eux, il était « obligé » de se cacher pour faire de la magie. A Cause des Moldus, il ne pouvait pas se montrait au Naturel dans les rues. Il ne pouvait pas se déplacer en Transplanant, en volant, sur son balais. Il ne pouvait même pas s’habiller normalement ! Le Fils du Ministre était forcé de s’habiller comme ceux qu’il détestait tant, laissant au placard robes et capes. Les seuls trucs bien chez les Moldus était aux yeux de Cassiel du moins, les Converses ^^. Malgré qu’elle soit d’origine Moldu, il trouvait ces chaussures magiques.
Cassiel inspira profondément et expira bruyamment. Maintenant qu’il était debout, il allez pas se recoucher maintenant, Poudlard est beau a Visiter de nuit, mais ça aurait était plus drôle avec quelqu’un d’autre. Cassy serait bien retourné au dortoir pour secouer Mike, mais il devait dormir… C’était peut être pas l’orage qui avait réveillé le Jeune Homme, mais peut être bien un ronflement de l’héritier Lestrange. Il serait bien aller réveillé Evie… mais ça aurait été mauvais pour ça santé… Si santé il y’a toujours quand tête il n’y a plus. Donc, ayant décidé de laisser dormir les autre, il se dirigea seul, vers les cachots. Le fait qu’il y ai un gros orage était directement visible dans les cachots. Entre les pavé qui constituait le sol se glissait un petit filet d’eau, rendant le sol glissant. Sans prendre de risques inutiles, Cassiel décida de se dirigé… au hasard. Il passa la porte qui donnait sur le grand Hall, et monta les marches de Marbre. Il tourna, monta, bifurqua, redescendit, tourna en rond pour finalement arrivé… Au septième étage. Comment était il arrivé si loin de son lit, sans croisé âme qui vive… ou pas. Il n’avait ni croisé Peeves, l’esprit frappeur, ni le Baron sanglant, le Fantôme au tache de sang Argenté et aux chaînes grinçantes. Il avait de la chance, ça c’était sur, mais le fait qu’il soit au dernier étage du Château, et tout prés de la Salle commune des Gryffondor l’était moins. Certes il avait sa baguettes mais que faire contre une bande de babouins écervelés ayant plus de bras que de cervelle ? Comme il l’avait souvent entendu «Chaque muscle a besoin d’être utilisé sinon il faiblit et meurt. » et a force de négliger leur peu de cervelles restante, les Bouffondors n’ont pas sauvé ce qui leur restait. Paix a ces cerveaux, puissent ils reposé longtemps dans les méandres de la connerie Gryffondor.
Le jeune Homme passa devant le portrait de la grosse dame en rose qui cachait l’entré de la Salle commune des Gryffondor. A l’Instar de ceux qu’elle cachait derrière son corps énorme, elle semblait être comme eux… Bête, égocentrique et tout un tas de mots gentils dans le même genre, le champ lexical classique qu’un Serpentard classique utiliserait pour parler des Gryffouilles. Mais pourquoi donc était il si méchant avec les Gryffondors. Le Choixpeau, n’avait il jamais parler de réciprocité, d’entre aide, d’amitié entre les maisons, de solidarité entre les maisons de Poudlard ? Si, mais pourtant jamais cela ne s’était fait. Les Gryffondors avaient une fierté trop démesuré, sans compter les Serpentard qui ne jurent que sur la pureté de leur sang. Cassiel avait tout de suite compris cela mais il se demander parfois, pourquoi les deux maisons se faisait sans cesse la guerre. Certains pense que les plus grand Sorciers viennent de Gryffondor quand ils sont «bons» et de Serpentard quand ils sont « mauvais ». Cassiel le disait souvent, mais ignorant qu’il copiait sur son prédécesseur, Voldemort « Il n’y a pas de gentils ou de méchant, juste ceux qui veulent le pouvoirs, et ceux qui sont trop faible pour le vouloir » C’est vrai non ? Il faut être prés a tout pour avoir le Pouvoirs, et donc ne pas avoir de limites. Souvent les limites sont des limites de capacité.

Certains pense que les plus grand Sorciers viennent de Gryffondor quand ils sont «bons» et de Serpentard quand ils sont « mauvais ». Cassiel le disait souvent, mais ignorant qu’il copiait sur son prédécesseur, Voldemort « Il n’y a pas de gentils ou de méchant, juste ceux qui veulent le pouvoirs, et ceux qui sont trop faible pour le vouloir » C’est vrai non ? Il faut être prés a tout pour avoir le Pouvoirs, et donc ne pas avoir de limites. Souvent les limites sont des limites de capacité. Mais quand ce ne sont pas des limite de capacité, se sont des limites culturelles, ou morale. Cassiel n’hésiterait pas a tuer quiconque ce mettrait en travers de son chemin, alors que les autres face a cette limite renonceront et se perdront dans la masse. Un bruit de pas fit dresser un sourcil a Cassiel. Qui donc pouvait bien se promener, a cette heure, dans les couloirs ? Il pris sa baguette qu’il avait rangé dans sa poche, et la serra entre ses doigts. Il regarda autours de lui, mais l’obscurité était telle qu’il n’y voyait rien. Il ferma les yeux pour mieux voir, l’esprit voyant aussi bien que l’œil et peut importe les conditions. Vider son esprit, faire le vide en soi. Être prés au pire. Baguette en main, les sens au aguets, le jeune Valandil était prés. Il essaya de ne pas se faire remarquer, mais il savait que l’autre l’avait vue… pourvu que ce ne soit pas un prof, ou le Concierge, mais un élèves. Cassiel ne craignait pas de se retrouvé dans le bureau de la vieille Humblia mais ça le faisait chier d’y aller. XD. Cassiel attendit que l’autre agisse ou parle avant de faire quoi que se soit. Avant de passer a l’attaque autant attendre de connaître l’adversaire.